Une question siouplait que j´ai l´insolence de vous poser ici sans détour : comment transcender une salade ?
Alors voilà. J´étions à la teuf d´une copine vendredi soir. J´avais pas calé mon derrière sur le tabouret trempé qu´elle venait de rentrer du balcon, sachant que bonne petite dernière je suis arrivée (je bosse, moi !), bref, j´étais pas posée qu´on m´avait déjà collé un caipirinha entre les mains sous prétexte que personne n´en voulait. Moi qui ne crois qu´aux vertus du jus de raisin macéré, j´ai dû faire abstraction de mes sages principes et... vas-y que je t´ai sifflé le gobelet en moins de temps qu´il ne faut pour l´écrire.
Il faut dire que je venais de retrouver une copine que je n´avais pas revue depuis la belle Glinglin et qu´on médisait sans limites en engloutissant les succulents petits farcis niçois. Je précise que ma cop´ (celle qui régalait) est née à Nice d´un père rital et d´une mère allemande, mère qui un beau jour sans prévenir a bazardé toute la tribu pour aller s´échouer au sein d´une secte outre-Atlantique, d´où elle n´est d´ailleurs jamais revenue. Plus tard, ma copine a épousé un germano-finlandais, avec qui elle a eu un môme, et qui l´a quittée au bout d´un certain temps pour une Brésilienne hystérique. Me fait penser tout comme vous, cette histoire, qu´il est intéressant de s´interroger sur le pourquoi du comment on peut avoir les pinceaux si planétairement mélangés et arriver quand même à tout réussir en cuisine comme elle le fait. Mais vous allez me dire que je commence à vous pomper l´air copieusement et que je ferais bien d´en venir à ma question si je veux être en droit d´espérer une réponse en 2011...
Donc. Venons en au fait. A ma gauche, y´avait une nana originaire d´Helvétie. Tenez-vous bien. Elle m´a raconté, de son accent trainant qui la mettait chaque fois en retard d´un toast porté à l´amitié et au temps qui passe, que toute toute toute la classe de sa fille (sa pitchounette a l âge de Charlotte) est déjà sur Facebook et ce sans exception aucune alors que moi, mère ringarde, réac et tout ce qu´on voudra, j´interdis ce truc for-mel-le-ment à ma girlette. Bref, cette Suissesse avait fait une salade verte divine. Divine pourquoi ? Parce que la sauce.
D´où ma question : comment sublimer une salade ? J´ai bien tenté de lui soutirer son secret... L´est restée dans un registre ultra évasif, soit-disant qu´elle ne fait jamais deux fois la même sauce (ben voyons), qu´en général elle ouvre ses placards et qu´elle mélange au petit bonheur la chance ce qui lui passe par la carafe. Ho hé, à d´autres le coup du "au feeling" ! Parce que si je prends mon exemple et mon placard, excepté l´huile le vinaigre et la sacro-sainte moutarde de Dijon, je trouve aussi de la sauce de soja, du ketchup, du miel, du Xérès, etc... encore, je vous épargne la liste de ce que je trouve en ouvrant mon frigo.
Alors help !!! Faut mélanger quoi à quoi pour que, bon sang de bonsoir. les molécules transforment une salade verte en un souvenir gastronomique inoubliable ??! Hein ?
Alors voilà. J´étions à la teuf d´une copine vendredi soir. J´avais pas calé mon derrière sur le tabouret trempé qu´elle venait de rentrer du balcon, sachant que bonne petite dernière je suis arrivée (je bosse, moi !), bref, j´étais pas posée qu´on m´avait déjà collé un caipirinha entre les mains sous prétexte que personne n´en voulait. Moi qui ne crois qu´aux vertus du jus de raisin macéré, j´ai dû faire abstraction de mes sages principes et... vas-y que je t´ai sifflé le gobelet en moins de temps qu´il ne faut pour l´écrire.
Il faut dire que je venais de retrouver une copine que je n´avais pas revue depuis la belle Glinglin et qu´on médisait sans limites en engloutissant les succulents petits farcis niçois. Je précise que ma cop´ (celle qui régalait) est née à Nice d´un père rital et d´une mère allemande, mère qui un beau jour sans prévenir a bazardé toute la tribu pour aller s´échouer au sein d´une secte outre-Atlantique, d´où elle n´est d´ailleurs jamais revenue. Plus tard, ma copine a épousé un germano-finlandais, avec qui elle a eu un môme, et qui l´a quittée au bout d´un certain temps pour une Brésilienne hystérique. Me fait penser tout comme vous, cette histoire, qu´il est intéressant de s´interroger sur le pourquoi du comment on peut avoir les pinceaux si planétairement mélangés et arriver quand même à tout réussir en cuisine comme elle le fait. Mais vous allez me dire que je commence à vous pomper l´air copieusement et que je ferais bien d´en venir à ma question si je veux être en droit d´espérer une réponse en 2011...
Donc. Venons en au fait. A ma gauche, y´avait une nana originaire d´Helvétie. Tenez-vous bien. Elle m´a raconté, de son accent trainant qui la mettait chaque fois en retard d´un toast porté à l´amitié et au temps qui passe, que toute toute toute la classe de sa fille (sa pitchounette a l âge de Charlotte) est déjà sur Facebook et ce sans exception aucune alors que moi, mère ringarde, réac et tout ce qu´on voudra, j´interdis ce truc for-mel-le-ment à ma girlette. Bref, cette Suissesse avait fait une salade verte divine. Divine pourquoi ? Parce que la sauce.
D´où ma question : comment sublimer une salade ? J´ai bien tenté de lui soutirer son secret... L´est restée dans un registre ultra évasif, soit-disant qu´elle ne fait jamais deux fois la même sauce (ben voyons), qu´en général elle ouvre ses placards et qu´elle mélange au petit bonheur la chance ce qui lui passe par la carafe. Ho hé, à d´autres le coup du "au feeling" ! Parce que si je prends mon exemple et mon placard, excepté l´huile le vinaigre et la sacro-sainte moutarde de Dijon, je trouve aussi de la sauce de soja, du ketchup, du miel, du Xérès, etc... encore, je vous épargne la liste de ce que je trouve en ouvrant mon frigo.
Alors help !!! Faut mélanger quoi à quoi pour que, bon sang de bonsoir. les molécules transforment une salade verte en un souvenir gastronomique inoubliable ??! Hein ?