Sur un tout autre registre que Confiteor.
Room :
« C'était un défi : décrire un monde minuscule vu, à moins d'un mètre du sol, par les yeux d'un enfant "sauvage". Emma Donoghue relève le gant avec finesse et élégance. Surtout, elle évite l'écueil du fait divers. Très vite, on est ailleurs. Dans un univers hors normes. Un livre tout à la fois envoûtant et glaçant, à l'étrange et sombre beauté. »
Ca c'est la critique du Monde.
Je rajoute, la puissance de l'amour maternel, la beauté de l'insignifiance des détails qui nous entoure, la force vive de l'enfance. Au début du livre, j'ai Grogné contre toutes ces majuscules en début de mots et, en deux minutes, j'ai été transportée par la féerie de l' univers carcéral que sait se fabriquer un si petit enfant.
Tout petit roman, d'une auteure irlandaise qui se lit d'une traite sans respirer.
Une ou un villageois l'a t-il lu ?
Room :
« C'était un défi : décrire un monde minuscule vu, à moins d'un mètre du sol, par les yeux d'un enfant "sauvage". Emma Donoghue relève le gant avec finesse et élégance. Surtout, elle évite l'écueil du fait divers. Très vite, on est ailleurs. Dans un univers hors normes. Un livre tout à la fois envoûtant et glaçant, à l'étrange et sombre beauté. »
Ca c'est la critique du Monde.
Je rajoute, la puissance de l'amour maternel, la beauté de l'insignifiance des détails qui nous entoure, la force vive de l'enfance. Au début du livre, j'ai Grogné contre toutes ces majuscules en début de mots et, en deux minutes, j'ai été transportée par la féerie de l' univers carcéral que sait se fabriquer un si petit enfant.
Tout petit roman, d'une auteure irlandaise qui se lit d'une traite sans respirer.
Une ou un villageois l'a t-il lu ?