Etat d'âme (j'ai pas dit d'ânes) - suite -

Oui, je n'en parle jamais. En dehors du cercle d'amis concernés, dans mon entourage, les gens au courant de cette histoire se comptent sur les doigts d'une main. Ce n'est pas quelque chose qui se raconte. C'est déjà difficile à lire juste en survolant les grandes lignes, mais c'est impossible à entendre. Parmis les rares à qui j'en ai parlé dans les jours qui ont suivi, une amie infirmière au SAMU. Le trash, c'est son quotidien. Elle m'a avoué la fois d'après où l'on s'est vue qu'elle n'avait pas réussi à dormir ce soir-là et que l'histoire l'avait suivie quelques jours.

C'est une cicatrice de vie assez particulière.

Lilie

Très touchée par ton témoignage, Lilie...