Petit matin, petit café à St Exupéry, petit saut de puce et me voilà en Tunisie. J’ai laissé la pluie et la fraicheur alpine (6°C) pour trouver le ciel couvert et la douceur méditerranéenne (17°C).
Installation à l’hôtel, propre et sans prétention, de toute façon je ne recherche pas le grand luxe ! Le reste du groupe doit être en visite sur l’ile car hormis la réceptionniste de l’hôtel, y a personne pour m’accueillir. Donc j’attends, peux même pas utiliser la piscine ils sont en train de la nettoyer.
En fin d’après midi, les employés de l’hôtel installent l’écran géant ; ce soir l’équipe nationale de foot joue en Coupe d’Afrique des Nations contre le Gabon …. Et toujours personne de l’agence locale ….
Après le match, je pars à la recherche du groupe que je finis par retrouver. On fait connaissance devant le repas du soir puis direction les chambres pour la première nuit africaine.
6h30, levé en douceur au son du réveil. Après le petit déjeuner on embarque dans le minibus pour 4h de route jusqu’au camp de base où l’on rencontrera le guide et les chameliers ainsi que des invités de dernières minutes, une équipe de CNN, qui fait un reportage sur le tourisme saharien et qui nous suivra pendant quelques jours. Je vais passer à la télé, je vais passer à la télé !!!!
Allez cette fois c’est la bonne, premier départ à pied ; le sable encore humide des averses de la semaine dernière est porteur. Devant nous une mer de sable qui s’étend à l’infini parsemée de genêts blancs, c’est que du bonheur de retrouver un décor si magnifique.
Après une petite heure de marche, nous arrivons au premier bivouac ; mes compagnons montent leur tente, moi j’ai décidé de dormir sous la plus belle des toiles : la voie lactée. Nous profitons du coucher de soleil en attendant le thé ; nous marcherons dans une région assez boisée, nous ferons donc tous nos repas du soir au feu de bois ainsi que les veillées et nous aurons du pain frais 2 fois par jours.
Après les devinettes, les chameliers sortent le bendir et la flûte et entament les chants ; c’est du Nomad’blues : des histoires de garçons qui suivent la caravane de leur bien-aimée sans jamais pouvoir la rattraper.
Orion et la Grande Ourse se joignent au concert ; la Petite Ourse quant à elle viendra nous border et veillera sur notre sommeil. Les tentes sont humidifiées par la rosée, moi je déplie mon matelas et mon sac de couchage. Première nuit céleste.
Installation à l’hôtel, propre et sans prétention, de toute façon je ne recherche pas le grand luxe ! Le reste du groupe doit être en visite sur l’ile car hormis la réceptionniste de l’hôtel, y a personne pour m’accueillir. Donc j’attends, peux même pas utiliser la piscine ils sont en train de la nettoyer.
En fin d’après midi, les employés de l’hôtel installent l’écran géant ; ce soir l’équipe nationale de foot joue en Coupe d’Afrique des Nations contre le Gabon …. Et toujours personne de l’agence locale ….
Après le match, je pars à la recherche du groupe que je finis par retrouver. On fait connaissance devant le repas du soir puis direction les chambres pour la première nuit africaine.
6h30, levé en douceur au son du réveil. Après le petit déjeuner on embarque dans le minibus pour 4h de route jusqu’au camp de base où l’on rencontrera le guide et les chameliers ainsi que des invités de dernières minutes, une équipe de CNN, qui fait un reportage sur le tourisme saharien et qui nous suivra pendant quelques jours. Je vais passer à la télé, je vais passer à la télé !!!!
Allez cette fois c’est la bonne, premier départ à pied ; le sable encore humide des averses de la semaine dernière est porteur. Devant nous une mer de sable qui s’étend à l’infini parsemée de genêts blancs, c’est que du bonheur de retrouver un décor si magnifique.
Après une petite heure de marche, nous arrivons au premier bivouac ; mes compagnons montent leur tente, moi j’ai décidé de dormir sous la plus belle des toiles : la voie lactée. Nous profitons du coucher de soleil en attendant le thé ; nous marcherons dans une région assez boisée, nous ferons donc tous nos repas du soir au feu de bois ainsi que les veillées et nous aurons du pain frais 2 fois par jours.
Après les devinettes, les chameliers sortent le bendir et la flûte et entament les chants ; c’est du Nomad’blues : des histoires de garçons qui suivent la caravane de leur bien-aimée sans jamais pouvoir la rattraper.
Orion et la Grande Ourse se joignent au concert ; la Petite Ourse quant à elle viendra nous border et veillera sur notre sommeil. Les tentes sont humidifiées par la rosée, moi je déplie mon matelas et mon sac de couchage. Première nuit céleste.